Inhibition réciproque en pédagogie : des faits qui valent la peine d'être connus
L'inhibition réciproque est utilisée en pédagogie pour ce que l'on appelle le contre-conditionnement. Grâce à cette technologie, les craintes peuvent être réduites.
Comment fonctionne l'échappement réciproque ?
Le principe de l'inhibition réciproque en pédagogie repose sur le fait que les réactions physiques et émotionnelles peuvent être classées en deux catégories: il y a l'activation et les processus qui se concentrent davantage sur la relaxation ou le repos.
Les émotions associées à l'activation peuvent être l'anxiété ou la colère, par exemple. Tous deux s'accompagnent de tensions dans le corps, d'une augmentation de la tension artérielle et du pouls, et d'une augmentation du flux sanguin vers les muscles pour échapper à quelque chose ou se préparer à l'effort physique. Cela n' a pas toujours un sens de nos jours, car le stress au travail, par exemple, n'exige ni lutte physique ni fugue, mais la peur entraîne toujours les mêmes symptômes.
D'autre part, la pédagogie connaît des réactions plus susceptibles d'être accompagnées de calme et de détente. Il peut s'agir, par exemple, de l'apport alimentaire, d'un contact corporel positif (petting) ou de la fatigue. Les réactions d'activation et de relaxation ne peuvent pas avoir lieu en même temps, elles s'inhibent mutuellement et le comportement devient alors plus prononcé.
En pédagogie, par exemple, ce contre-conditionnement ou cette inhibition réciproque est utilisé en pédagogie en plaçant d'abord une personne qui a peur de certaines choses dans une situation relaxante. Là-bas, ils ne montrent aucune réaction d'anxiété. Une confrontation progressive avec l'objet déclencheur de l'anxiété se produit alors, l'environnement plus rassurant atténuant les réactions d'anxiété.Firmin a écrit : D'autre part, la pédagogie connaît des réactions plus susceptibles d'être accompagnées de calme et de détente. Il peut s'agir, par exemple, de l'apport alimentaire, d'un contact corporel positif (petting) ou de la fatigue. Les réactions d'activation et de relaxation ne peuvent pas avoir lieu en même temps, elles s'inhibent mutuellement et le comportement devient alors plus prononcé.
Un exemple pratique de pédagogie ?
L'inhibition réciproque peut être utilisée lorsque les enfants ont peur de certains animaux. Cette peur conduit alors à un enfant atteint de phobie canine, par exemple, qui réagit à la présence d'un chien avec une forte tension, en hurlant, en pleurant ou en s'enfuyant. De plus, l'enfant évitera les situations dans lesquelles il rencontre des chiens.
Cet enfant serait alors mis dans une situation où il se détendrait. Cela pourrait signifier lui donner ses jouets préférés ou faire cuire sa nourriture préférée. Cela éveillera des sentiments positifs et l'enfant deviendra calme.
En utilisant l'inhibition réciproque en pédagogie, l'enfant serait confronté pas à pas à un chien dans cette situation détendue. Cela peut signifier que l'enfant ne voit la photo d'un chien que pendant une courte période, puis qu'il la regarde plus tard pendant un certain temps ou qu'il est censé l'avoir à côté de lui pendant qu'il joue ou mange. Vous pouvez aussi travailler avec un chien en peluche.
Si l'enfant s' y est habitué et reste encore détendu, alors on ferait une augmentation supplémentaire selon les règles de la pédagogie. Cela peut signifier, par exemple, que l'enfant se fait brièvement jouer l'aboiement d'un chien ou qu'il voit un chien à la télévision. Enfin, ce stimulus peut être intensifié par l'inhibition réciproque, c'est-à-dire que pendant que l'enfant est détendu, un reportage télévisé avec des chiens sera diffusé pendant une période plus longue et pas seulement pour une courte période.
Dans la dernière étape, la confrontation avec un vrai chien a lieu. Au début, l'animal devrait être très loin, plus tard plus près. Si l'anxiété de l'enfant a diminué, le contre-conditionnement a été efficace.
L'inhibition réciproque peut donc être surtout utilisée pour l'anxiété, si on utilise cette forme de thérapie de la pédagogie à l'utilisation de situations relaxantes pour réduire progressivement l'anxiété.Esther a écrit : Dans la dernière étape, la confrontation avec un vrai chien a lieu. Au début, l'animal devrait être très loin, plus tard plus près. Si l'anxiété de l'enfant a diminué, le contre-conditionnement a été efficace.